My grandmother was French, so she said.
I was perhaps ten when I first recall seeing her. She spoke in a French accent even after 30 years of speaking English. Her maiden name, as I knew it as a child, was Marguerite Chevallier. And when she spoke of Germans, it was always with a touch of disdain. The few bits and pieces of history that I recall her telling me as a child include her parents hiding silver and valuables from the Germans during the Franco-Prussian War, and then the devastating consequences of the First World War on Graffigny-Chemin, the small village in Haute-Marne, formerly the province of Lorraine, where she and her sister grew up with their mother.
J'avais dix ans quand je l'ai vu la premier fois. Elle parlait anglais avec un accent français fort. Son nom de jeune fille, comme je l'ai connu par enfant, était Marguerite Chevallier. Et quand elle parlait aux Allemands, c'était toujours avec une touche de dédain. Les
quelques bribes de l'histoire que je me souviens qu'elle me dit comme
un enfant comprennent cacher l'argent des Allemands pendant la guerre
franco-prussienne, et puis les conséquences dévastatrices de la Premier
Guerre mondiale. Graffigny-Chemin, où elle et sa soeur ont grandi avec leur mère, estais une petit village dans le
Haute -Marne, la province de Lorraine ancienne.
Madison Pearson's 2nd Division Campaign medal |
My grandmother met my grandfather in France in January of 1918. He was
serving with Second Division, later the Third Division, near Graffigny.
Indeed, when he first arrived, he was billeted in the town of Graffigny, as the
Second Division was headquartered in the nearby town of Bourmont. The family
history is that my grandfather, Madison Pearson, was injured in one of the many
battles and nursed back to health by my grandmother. There are no military records
of his exploits, so that can not be documented. What I do know is that my
grandfather has several medals including, a Purple Heart that proves he was
wounded, and the Silver Star, that shows he fought with gallantry in action.
Ma grand-mère a rencontré mon grand-père en France en 1917. Il servait près de Graffigny, dans la deuxième division, et plus tard la troisième division. Quand il est arrivé, il était cantonné dans la ville de
Graffigny, comme la deuxième division a son siège social dans la ville
voisine de Bourmont. L'histoire
de la famille, c'est que mon grand-père, Madison Pearson, a été blessé
dans l'une des nombreuses batailles et ramené à la santé de ma
grand-mère. Il n'existe aucune documents militaires. Mais, ce
que je sais, c'est que mon grand-père a plusieurs médailles dont une
Purple Heart qui prouve qu'il a été blessé, et la Silver Star, qui
montrent qu'il a combattu avec bravoure au combat.
Marguerite Chevallier Meine |
My grandmother and grandfather somehow found time during the
progress of the war to court, and after the armistice in November of 1918, they
married. Eventually, they returned to the United States. My grandfather
remained in the military retiring as a Brigadier General.
Mes visites à l'adolescence
dans leur maison à Chapel Hill, Caroline du Nord étaient toujours très
agréables. Je me souviens des iris violets qui bordaient l'allée de pierre de
leur maison. J'ai apprécié le poulet frit et riz à l'espagnole ma grand-mère
aimait cuisiner. J'ai joué aux cartes avec mes deux grands-parents, Canasta
avec ma grand-mère, et pont avec mon grand-père.
There was a garden in the back of the house which had lost much of its splendor with the passing of years. My grandparents, now in their
seventies, had slowed down. Still, it was fun to explore the garden with its
chicken coup, its trellises, its water pond, the fig tree, and crushed stone pathways that were lined with ancient
flower beds gone to seed.
Il y avait un jardin à l'arrière de la maison qui avait perdu un peu de sa splendeur au fil des ans. Mes grands-parents, maintenant septuagénaires, avait ralenti. Pourtant,
il était amusant d'explorer le jardin avec son poulailler, ses
treilles, son bassin d'eau, et les voies qui ont été bordée de parterres
de fleurs anciennes.
All family histories are a mixture of memories both sweet
and sad. Our grandparents pass on as do our parents, and we are left with but a
few things to remember them by.
Les histoires de toutes familles sont un mélange de souvenirs doux et triste. Nos
grands-parents se transmettent comme nos parents, et nous nous
retrouvons avec quelques petites choses à leur souvenir.
My grandmother was French, as I said, but there is always
more to the story…
Ma grand-mère était française, comme je l'ai dit, mais il ya toujours plus à l'histoire ...